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28/01/2018

En route vers le Pacifique

Dès que le bateau sera prêt nous sortirons du Rio (ouf !!!) et remonterons l'Alizé vers les îles Cayman visitées l'an passé mais peut-être ne nous y arrêterons pas. Nous serons à cet endroit en bonne positio par rapport à l'alizé pour foncer vers Panama et un peu à l'est les San Blas (On verra si on s'y arrêtera car il faut prévoir d'y rester un certain temps pour dire d'amortir le droit de séjour assez élevé). Après la traversée, Las Perlas (peut-être avec notre fille Manon...) et retour. Ensuite, en duo jusqu'en Ecuador. Stop (excursions vers le Pérou). Ensuite grande traversée vers Cook, Pâques, Pitcairn, les Gambier et remontée des Tuamotu jusqu'aux Marquises où nous sortirons l'Otter de l'eau pour le mettre à l'abri et revenir en Belgique pour les fêtes de fin d'année... Après cap vers l'ouest et Tahiti...

02:25 Écrit par Otter2 | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

sillage 2016-2017-2018

Rio Dulce - Livingstone - Chinchoro Bank (Mexique) - Georges town (Grans Cayman) - Montego Bay (Jamaïque) - Port San Antonio (Jamaïque) - Cayman Brac - Grand Cayman - Livingstone - Cayo Comado - Rio Dulce - Shelter Bay marina (Panama) -Passage du canal - Balboa-La Playita-Contadora (nude beach)- Bahia de Cadaquez (Ecuador) -

02:11 Écrit par Otter2 dans Journal de bord, Sillages | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

23/01/2018

Les swimming solar panels

La vie au Rio Dulce n’est pas toujours un long fleuve tranquille... Depuis ce matin, je m’étais attaqué au placement, sur notre nouvelle arche en inoxydable, de quatre panneaux solaires articulés selon un dispositif original imaginé par nous et conçu avec maîtrise par un soudeur de talent maîtrisant parfaitement le travail de fine mécanique sur machines-outils. Je venais de terminer l’amarrage avec des U dûment boulonnés des deux panneaux bâbord. Les deux autres étaient déjà en place et « sécurisés » par des colliers de serrage en plastique ; ils n’attendaient que moi pour recevoir leurs fixations définitives. Mais c’était sans compter sur la « Murphy’s law » (appelée chez nous la loi de la vexation universelle !).
Alors que je me tournais vers tribord pour m’occuper d’eux, un grand bruit métallique suivi d’un énorme plouf me fit vociférer une quantité de jurons que je préfère passer sous silence. Je venais de créer les premiers « swimming solar panels in the world » !... Il n’y avait plus qu’à - j’ai horreur de cette expression - les sortir de l’eau ce qui, en apnée et compte tenu du poids de l’ensemble, s’avéra vite impossible.
C’est donc avec l’aide de plusieurs voisins de ponton et cordage que nous parvînmes à ramener, d’abord le cadre, ensuite l’un puis l’autre panneau. Fort heureusement, l’eau était bonne et le fond pas trop boueux ni profond... Ce soir, alors que je raconte mon aventure, les panneaux ont été soigneusement séchés et enfin correctement mis en place. Quand je vous disais que la vie à bord de l’Otter n’est pas toujours monotone !... Demain il ne reste plus qu’à... passer les fils et effectuer les raccordements.