07/07/2013
Puerto Rico
Quelle horreur ! Depuis fin janvier, quand nous avons quitté les USVI (Iles Vierges américaines) pour Puerto Rico, je n’ai plus eu (pris ?) de temps pour me consacrer à la rédaction de ces rapports de terre/mer que je vous envoyais régulièrement. Je constate que le dernier en date relatait notre visite de St Thomas. C’est dire si depuis lors notre beau sillage s’est étiré ! Que s’est-il donc passé ?
Procrastination due aux tergiversations avec nos jeunes qui nous pressent pour venir nous rejoindre car vraisemblablement en manque de nous ? Peut-être… Peut-être aussi l’idée de ne pas vous assommer avec toutes nos histoires de soleil et de cocotiers alors que vous étiez sous la neige dans les frimas de l’hiver ? Peut-être les deux, dans le fond !...
Début février, dirigeant notre étrave vers Puerto Rico, nous atteignons la première « Ile Vierge espagnole » : Culebra. Nous y trouverons un mouillage vraiment agréable. Très calme car bien abrité des vents dominants, le mouillage donne accès au village Dewez où l’on trouve le principal pour l’avitaillement ainsi que de sympathiques petits bars-restaurants dont le célèbre « Dinghy dock » où nous fêterons les 50 ans de Marjo. Endroit très sympathique où tout le monde se rend en dinghies auxquels un ponton est réservé. Dès la tombée du jour, des éclairage sous-marins illuminent les fonds sous les annexes et permettent de découvrir la présence d’énormes tarpons (plus d’un bon mètre) vraisemblablement là pour profiter des miettes du restaurant !
Dans ce beau et confortable mouillage, nous nous sommes posés. C’est parfois bien agréable de s’installer quelque part. Tous les jours, nous allons à terre pour faire des courses, visiter, « magasiner » (décidément j’adore ce verbe !) des cadeaux pour notre retour en Belgique, et aussi, travailler à l’entretien du bateau. La coque se charge plus rapidement en algues diverses dans des eaux à 25° au moins et, de temps en temps – l’an passé, nous l’avons réalisé trois fois – il faut réactiver le cuivre de l’antifouling (cuppercoat) dont est recouverte notre coque depuis maintenant cinq ans. Le confort de ce mouillage réside encore dans la possibilité à peu de frais de capter Internet sur le bateau.
15:08 Écrit par Otter2 dans Journal de bord, Rapport de terre/mer | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
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